La naissance de l’Éducation nouvelle : Россия – Russie / France

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La création du Groupe Français d’Éducation Nouvelle

traduction automatique légèrement remaniée

Les sources de n’importe quel paradigme pédagogique sont la demande sociale de la société, le niveau de culture, les industries, les formations, la mentalité de la société, tout ce qui accorde la possibilité à l’opinion publique de sentir la nécessité pour la sélection de ce qu’il est important de garder. Il est nécessaire de commencer l’étude du paradigme pédagogique de “l’Éducation Nouvelle”, né en Russie au début des années 90 du XXème siècle, par une analyse théorique philosophique – le regard pédagogique du groupe Français d’Éducation Nouvelle (GFEN), puisque notamment elle a aidé les professeurs de la Russie à changer qualitativement la compréhension de la réalité pédagogique. Les idées progressives dans la pédagogie naissaient dans un contexte social favorable, le fond culturel abondant des procès créateurs. Le GFEN est apparu au début de XX siècle, quand se sont particulièrement intensifiées les recherches de nouvelles formes dans la littérature (les romans de Marcel Proust, les pièces de théâtre de Maurice Meterlinck, les tableaux de Kazimir Malevicha), la philosophie (les travaux de Frédéric Nietsche), quand la polarisation dans la société a atteint la limite et que s’est fait sentir la pénurie de possibilités de réalisation du potentiel personnel.

Ainsi, le temps de la création de GFEN, accidentel ou non, a coïncidé avec le coucher de l’impressionnisme, la naissance de l’avant-gardisme, l’édition à Madrid des oeuvres complètes de Freud, révélant en particulier, que inconscient peut être au service des poètes et les peintres, lié à ce que le surréaliste Louis Aragon appelle « le nouvel esprit de révolte ». Il écrivait : “nous réveillerons partout les germes de la confusion et du disconfort. Nous les propagandistes de cet esprit… Que le monde se mutine ! Regarde, la terre est si sèche, qu’elle est prête au feu ! Comme on peut le dire du foin !” [ref 44, s 436]. Dans le manifeste des peintres surréalistes rapportés à une époque à l’ouverture de leur exposition, Salvador Dali proclamait : “1. Nous vivons avec l’oeuvre, mais nous mourons selon la bonne volonté de notre public. 2. Nous détestons la peinture officielle. 3. Et nous connaissons parfaitement, que c’est ainsi. Nous admirons notre siècle et ses peintres et nous espérons, que par nos travaux nous exprimons le respect envers Derain, Picasso, Matisse, Juan Gris, … ” [44, s 121]. Dans ce manifeste se fait sentir la soif de l’oeuvre, l’oeuvre libre, selon de nouvelles lois, l’oeuvre, la base de qui est le respect sincère de l’art classique, envers les peintres talentueux, courageux, rejetant tout ce qui empêche de créer. Le début de XXème siècle est l’époque où plusieurs professeurs du monde ont commencé le mouvement pour “une Nouvelle école”, “une Nouvelle éducation”, qui pourrait correspondre à l’époque de l’industrialisation d’échelle qui a demandé à chacun de s’orienter dans les conditions d’un progrès technologique précipité. C’est pourquoi était tellement grande l’attention vers le développement des méthodes scientifiques dans l’enseignement, voulant relier les connaissances à la pratique, à l’expérience personnelle de l’enfant. En Allemagne, Autriche, Belgique s’élaborait un système complexe d’enseignement (Ferrer, Decroly). En Amérique le travail de classe des élèves était remplacé par l’octroi de la liberté dans le choix des études, ainsi que dans l’utilisation du temps d’étude. Le programme d’école comprenait une série de travaux pratiques liés de manière que des connaissances acquises par leur exécution, servent au développement et à la généralisation du flot entier des autres connaissances. Cependant leurs sujets étaient trop utilitaires, privés, insignifiant sur la relation d’instruction.

C’était le temps de la révolution en Russie, le temps des espoirs, des changements, des rénovations, le temps du devenir de l’Homme nouveau ; le temps, comme plusieurs le pensaient, de la construction du nouveau monde ; le temps, où les gens soudain ont vu le monde d’une nouvelle manière, où invisible est devenu plus visible. Et bien que A.Kamju affirme, que « l’essence véritable de XX siècle est l’esclavage” [61, s 436], les années 20 manifestaient le désir sincère de se délivrer, de rejeter au loin le seuil de l’histoire tout de qui empêche la personne d’être heureux, libre. La personnalité, son importance, comme jamais, se sont trouvées au centre d’intérêt de l’opinion publique, mais les professeurs, les poètes, les médecins, les peintres ont pris soin de la personnalité de l’enfant. Ils étaient dérangés par la société, dans qui les universités, la religion, le gouvernement ont partagé le monde entre eux-mêmes.( ???) L. Aragon trouvait, que notamment ils séparent “la personnalité d’eux-mêmes de la tendre enfance, est d’accord il y a longtemps au plan établi lugubre” [44, s 120]. Odette Bassis, la présidente actuelle du GFEN, racontait, que le mouvement GFEN avait été créé dans les années 20 du XX siècle. Ses sources avaient des tels psychologues célèbres, comme Paul Langevin, Henri Wallon, Jean Piaget. Langevin et Wallon ont longtemps été les présidents GFEN. Avant 1992 le professeur français, poète et le dramaturge connu, le résistant les années de la Deuxième guerre mondiale, Henri Bassis présidait le GFEN. Les principes de la philosophie pédagogique du GFEN sont utilisés largement en Belgique, Bulgarie, l’Italie, le Portugal, la République de Tchad, la Roumanie, en Ukraine, en RFA, le Chili, la Suède, mais maintenant également en Russie. Dans le manifeste du “groupe français d’éducation nouvelle”, il est déclaré que le but est une éducation libre et une personnalité pensant critiquement, le refus conscient de ce qu’on appelle la fatalité, la libération selon les dogmes et l’affirmation de la conformité entre dit et fait. Le mouvement “d’Éducation Nouvelle” cherche l’émancipation intellectuelle de chacun comme la condition de l’émancipation de tous” [88, s 9]. Dans de manifeste on peut remarquer une certaine ressemblance avec l’esprit avec du manifeste de Dali. Comme les peintres, le GFEN ne rejette pas напрочь les professeurs créant jusqu’à eux( ???). Ils affirment, que la base de leur philosophie sont “les idées des prédécesseurs géniaux, les représentants de l’humanité : Rousseau, Pestalozzi, Jacotot, Montessori, Decroly, Makarenko, Kortchak, Bakoule, Freinet, Langevin, Piaget, Neil, – tout de ceux pour qui le changement des méthodes de l’éducation et l’enseignement est la tâche la plus importante de la civilisation” [88, s 13]. Les professeurs GFEN, comme les peintres, ont commencé par la négation habituelle et, apparemment, les attributs inébranlables du procèssus de formation : Ils ont permis à l’élève d’écouter non les professeurs, mais le camarade de classe, ils ont permis de se tromper, de chanter faux, de ne pas avoir peur de mal écrire, d’avancer des hypothèses imprudentes et de les défendre, de les refuser et d’avancer de nouveau. Ils ont proposé la thèse que »la connaissance est création et recherche dans l’opposition avec les connaissances plus tôt acquises, еt par l’estimation critique de ce qu’il y a longtemps il peut être convient par tous”. Lors de nombreux stages franco – russes à Paris, Marseille, Bordeaux, Toulouse, Moscou, Saint-Pétersbourg, Samara, Kazan, Iekaterinbourg (en 1990 il était près de cinquantaine) les collègues français confirmaient plus d’une fois la foi les capacités naturelles de tous les gens de l’oeuvre. Ils nous persuadaient de cela, en ouvrant du nouveau en nous. Pendant les réflexions, en examinant la réalisation de la philosophie, ils s’appuyaient sur les travaux d’A.S.Makarenko, sa foi en enfant, sa méthode du travail avec les enfants socialement lancés. Sur l’analyse des ateliers d’écritures, la méthode du travail avec le mot, ils argumentaient avec des références aux travaux de L.S.Vygotskoy. Il faut remarquer, que l’idée pédagogique de la Russie pendant ce temps était concentrée aussi sur les idées de l’éducation libre, qui étaient affirmés aussi au milieu du ХIХ du siècle (K.D.Ushinsky, Л. Н. Gros). Л. Н. Gros trouvait, que la formation est incroyable sans liberté des enfants, sans liberté de l’acquisition par ceux-ci des connaissances, l’expérience indépendante. En 1917 P.P.Bloneky écrit sur l’école sans formalisme, l’autoritarisme, idéologique et avec K.N.Ventselem, S.T.Shatskim construisit l’école commune de travail. Pendant la naissance GFEN, l’école de la Russie était remplie par les idées de la démocratisation, l’autogestion, la coopération. Les idées de Blonsky ont servi au développement “de la psychologie Pédagogique” L.S.Vygotsky, a introduit la notion “la situation sociale du développement” et affirmait, que « la source principale du développement – les relations entre l’enfant et sa validité entourant”

L’enfant accomplit aujourd’hui dans la coopération, tout ce qu’il accomplira demain indépendamment. À la différence des élaborations pédagogiques de nos scientifiques plusieurs de à l’école pour les raisons idéologiques et en raison de l’absence de la technologie construite sur leur base qui ainsi que ne étions pas arrivé, GFEN on réussit à créer la technologie réalisant le paradigme pédagogique, qui remplace la leçon, en étonnant обращенностью vers le “JE” de l’enfant, vers ses intérêts, les recherches et les buts. Les professeurs français changent les structures dans la pédagogie et la formation étant le frein du développement, le devenir de la personnalité, qui ne doivent pas empêcher ni l’action, ni l’idée du professeur. En se rapportant avec la foi immense en potentiel de l’enfant, à sa capacité d’autoformation, à l’autochangement et l’autogestion par le destin personnel, le GFEN avance le slogan principal, le slogan – appel “Tout sont capables !« . » Nous croyons profondément, nous les militants « d’une Nouvelle Éducation », que les enfants, comme leurs parents, quand ils se décident à cela, ont les capacités probablement ne pas encore manifestées, qui peuvent remuer les montagnes ”, – écrit GFEN dans la demande du 28 janvier 1990. Dans la demande du groupe GFEN sonne la protestation contre l’inégalité sociale, contre la chance, la prospérité des individus particuliers, qui sont basés sur le malheur, la précarité de la grande majorité des gens. Et bien que le mouvement GFEN ne participe pas à la lutte politique, ses représentants ne passent pas devant les souffrances, la famine et la misère dans les pays du tiers monde, protestent contre la manifestation honteuse du racisme. Ils dirigent les efforts principaux pour l’émancipation intellectuelle, cherchent et trouvent les partisans de ce général de leur position de l’affaire dans tous les pays du monde. Ils concentrent l’attention sur l’école, en éliminant des classes l’obéissance inutile et l’esprit de conciliation, en aidant l’enfant dans la réalisation de ses capacités, dans l’établissement des liaisons avec le monde.