Formation : le point de vue du GBEN

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Le GBEN a le souci de placer le ‘pourquoi, pour quoi’ avant le ‘comment’, puisque c’est la fin qui justifie les moyens.
Aussi cet essai présente-t-il des positions philosophiques affirmées pour suggérer des pratiques en cohérence avec ces options.
En d’autres termes, il souhaite que la mission, donc la formation des futurs enseignants, soit définie en priorité, (quels enseignants, pour quoi faire ?) afin que les moyens inventés servent le but poursuivi.
Cette contribution est surtout centrée sur la formation humaniste des futurs enseignants en son début décisif.
Ce commencement d’apprentissage ne sera pas corseté par un programme/année mais étendu au nombre de mois nécessaires (un an ou plus) pour asseoir les bases fermes d’un nouveau métier de plus en plus complexe.
C’est pourquoi, un possible chevauchement du cursus sur deux années académiques serait de mise pour éviter l’empressement, le stress, la surcharge consumériste des programmes.
«Tout apprentissage solide se nourrit de lenteur » a dit fort justement Gaston Bachelard, philosophe épistémologue.

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