By Michel Neumayer | Published | Aucun commentaire
Ghoussoun : Nous sommes dix-huit. Ce qui est important, c’est de partager des valeurs, les pratiques viennent petit à petit. On peut observer, se former avant de démarrer. Ce n’est pas l’expérience qui compte, mais d’abord l’adhésion à des valeurs de coopération et de liberté. Parfois, nous mettons du temps à couvrir tous les postes, ainsi il nous a fallu deux ans pour trouver un enseignant d’arabe, la question étant d’adhérer pleinement aux valeurs de l’école.
Dans les écoles privées, il suffit d’une licence pour être enseignant. Il n’y a pas de contrôle de l’État.
Ghoussoun : Il existe une école Freinet mais nous n’avons pas de contact, c’est une école homologuée par le système français, mais un peu chère. Et il y a l’école El Horch (la forêt), une initiative de parents d’élèves, qui a des classes de maternelle et qui prévoit de continuer jusqu’au primaire.
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